Besoins, manques, vides, absences, oublis... génèrent les tensions qui soutiennent la dynamique de l'ORGANISATION. Posant questions, elles appellent des réponses, c'est-à-dire à informer.
Les tensions sont-elles maîtrisables ?
Quelle effection, domination et appropriation appellent-elles ?
Les limites dans lesquelles elles s'incrivent sont-elles supportables ?
Accroche
Observer, écouter pour identifier les tensions.
L'essentiel
Besoins, manques, vides, absences, oublis... génèrent les tensions qui soutiennent la dynamique de l'ORGANISATION. Posant questions, elles appellent des réponses, c'est-à-dire à informer.
Les tensions sont-elles maîtrisables ?
Quelle effection, domination et appropriation appellent-elles ?
Les limites dans lesquelles elles s'incrivent sont-elles supportables ?
Contenu textuel
S'il n'a pas de question, c'est que tout va bien, mais poser des questions permet d'aller mieux :)
Il n'y a pas de mauvaise question : TOUTES LES QUESTIONS SONT ENTENDABLES
Le risque/danger est de ne pas avoir posé la question qu'on aurait dû poser : il n'est jamais trop tard pour poser une question.
Les 7 questions du QQOQCP (Hexamètre de Quintilien), auquel se rajoute la question du choix (Which) s'organise en :
Trois questions transformatrices, qui correspondent à celles du Golden Circle de Simon Sinek :
Pourquoi (Why)
Comment (How)
Quoi (What)
Trois questions organisatrices
Qui (Who)
Où (Where)
Quand (When)
Une question de choix, correspondant au libre-arbitre de l'organisation, aux options nécessaires à la robustesse :
Laquelle/Lequel/Lesquels/Lesquelles (Which)
Une question abstraite, réductrice :
Combien (How much/many)
Le manque est générateur de tensions, il est soumis à l'aléa, appelant parfois à lâcher prise, ce qui peut conduire à l'émergence