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③ Ingrédient

Futur ancestral

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③ Ingrédient

Futur ancestral

"La crise écologique a modifié les termes du dialogue entre Modernes et peuples autochtones. À la promesse d’un futur débarrassé de la misère à grand renfort de prouesses technologiques, nous découvrons un monde diminué dans toutes ses formes de diversités, qui nous a rendu aveugles à ce qui nous entoure. Aujourd’hui des voix émergent qui font entendre des cosmovisions différentes, parmi lesquelles se trouve l’insistante et poétique parole d’Ailton Krenak. Dans cet ouvrage, il part en quête de la force des pensées et pratiques autochtones : Que devient l’expérience du monde lorsque l’on considère les fleuves et les montagnes comme des entités vivantes ? Que signifie reforester nos imaginaires et réinventer la séparation entre ville et forêt ? Comment réactiver la florestania, cette idée née de l’alliance des peuples de la forêt amazonienne pour combattre sa destruction ? Pour Ailton Krenak s’il y a un futur à imaginer, il est ancestral, car il est déjà présent dans tous les milieux de vie, qu’il appartient, à celles et ceux qui les partagent, de défendre."
③ Ingrédient

L’Orque, la Femme et l’Hirondelle

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Mille et un Sauvage
③ Ingrédient

L’Orque, la Femme et l’Hirondelle

Le sauvage n’est pas le propre d’un ailleurs, mais en tout lieu, fait de seuils, de passages et de reconfigurations. Il est transhistorique et transversal aux « cultures » et à l’idée de « nature ». Son murmure tenace se propage des confins d’une région forestière ou de l’océan à l’intime de nos existences. Le sauvage c’est la part insaisissable et intotalisable du monde dont la multiplicité des formes vivantes est une expression. Ce livre est composé de deux types de textes qui se répondent et se complètent : d’une part, de récits élaborés à partir de rencontres avec des animaux sauvages dans de vastes espaces – du massif pyrénéen aux fjords de Norvège –, ou encore dans un centre de soin ; et d’autre part, de réflexions sur l’expérience de l’altérité à laquelle ce monde nous expose. La rencontre avec l’animal sauvage, l’orque ou l’hirondelle, permet d’éprouver un commun inattendu, une réciprocité sensible, une éthique vivante « déjà là ». Contre l’effacement du vivant, il importe de repenser les relations entre les espèces, notre façon de sentir et de connaître, et nous ouvrir à l’inconnu, parce que nous sommes sauvages.
③ Ingrédient

Approche écologique de la perception visuelle

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③ Ingrédient

Approche écologique de la perception visuelle

"James J. Gibson est à l'origine d'une nouvelle théorie de la perception dont la version finale est présentée dans l'Approche écologique de la perception visuelle. Paru en 1979, cet ouvrage constitue le testament de celui que Ken Nakayama qualifie de «plus grand psychologue de la perception des cent dernières années». Abandonnant l'équivalence cartésienne entre vision et représentation, Gibson propose une approche dite «écologique» de la perception. Celle-ci caractérise l'objet perçu non plus comme le corrélat d'une représentation, mais comme «affordance» ou «invite», c'est-à-dire comme un pôle d'interactions, directement accessible à l'exploration. [...]"